On devrait tous lire un livre paru en 1988 « Fabriquer un Consentement » de Ed Herman et Noam Chomsky. (ed Investig’action 2020). C’est ce que j’écrivais en préparant cette note, or que vois-je sur internet aujourd'hui ? Une interview de Didier Raoult qui dit exactement la même chose ! Peut-être devrais-je exercer la médecine ? Trêve de plaisanterie. Comme cette bible fait 743 pages, je vous la résume. La production médiatique (presse, télévision, radio, cinéma, pub, Web, littérature) et tout ce qui nous informe est aux mains d’une industrie appartenant à des milliardaires. Ces médias fonctionnent sur le même modèle qui cherche à produire le consentement du citoyen au système politique et économique en place. En gros, l’information libre et objective n’existe pas, seule la propagande et l’endoctrinement peuvent passer à travers les mailles de ce filet. Les médiats de référence et les agences de presse sélectionnent et formatent les informations. Faute de ressources suffisantes, les autres médias reprennent ces nouvelles sur les grands évènements. La plupart des journalistes ne font que réécrire des articles déjà paru ailleurs. Si on ajoute la dépendance à la pub et aux subventions, l’influence des politiques, des lobbies et des actionnaires, nos principales sources d’information sont donc filtrées dans un sens généralement favorable aux pouvoirs. Dit comme ça, ça pourrait sembler une évidence, mais dit autrement, cela signifie que rien de ce que vous y lisez n’est vrai, rien de ce que vous y entendez n’est réel. On nous fait croire, on nous amuse, on détourne notre attention pour obtenir notre adhésion. Et ça marche ! Pourquoi plus de 700 pages ? Parce que la démonstration implacable s’appuie d’innombrables exemples et des statistiques indiscutables issus des médias depuis la guerre du Vietnam jusqu’à nos jours. Après cette lecture, impossible de lire des journaux ou écouter la télé de la même façon qu’avant. On peut se poser des questions sur l’avenir. Pas la peine de se fatiguer, y’en a qui le font pour nous. Vous avez peut-être entendu parler du «Great Reset » ? On traduit ça par « Réinitialisation ». Le Times magazine nous expose la chose ainsi : « La pandémie COVID-19 a fourni une occasion unique de réfléchir au genre d'avenir que nous souhaitons. TIME s'est associé au Forum économique mondial (Davos) pour demander aux principaux penseurs de partager des idées sur la façon de transformer notre façon de vivre et de travailler. » Les grosses têtes (et gros portefeuilles) ont déjà tout pensé depuis longtemps. Le Fond Monétaire International est dans le coup, donc tout va très bien se passer, vous verrez, ça ne fait pas mal du tout. En vrac, il faut une gouvernance mondiale : les notions d’Etat et de démocratie sont dépassées, inutiles, voire nuisibles Idem pour la monnaie physique, le papier monnaie est également dépassé, inutile voire nuisible, passons vite au numérique généralisé. Les problèmes économiques et la consommation sont déjà en bonne voie avec les GAFAM. Le travail sera dépassé par la robotisation, distribuons un revenu minimal universel. La gestion sociale pourra utilement s’inspirer du modèle chinois. Surveillance universelle, caméras, smartphones obligatoires, drones, récompenses et punitions automatiques selon un barème d’évaluation des comportements. Entre parenthèses, parfois les choses s’imposent d’elles-mêmes : inutile de rendre la vaccination obligatoire, seuls les titulaires d’un carnet en règle pourront sortir de chez eux. Super, l’avenir s’annonce radieux ! Tout de même au hasard des lectures quotidiennes, on peut capter ‘autres infos. Selon l’étude de l’Université de Stanford parue le 5 janvier et dirigée par le prof John Ioannidis, le meilleur épidémiologiste mondial, aucune des politiques sociales mise en place (confinement, couvre-feu, obligation du masque etc…) n’ont eu le moindre effet significatif sur la pandémie. Plus surprenant : selon le collectif d’urgentistes InterUrgences, rien que pour le mois de janvier, : 2024 lits d’hôpitaux ont été supprimés en France. 350 à Tours, 200 à Caen, 174 à Nancy, 230 à Marseille, 100 à Nantes, etc. A ce propos, des nouvelles sur le Covid ? Allez voir le lien L’histoire étant un éternel recommencement, voilà qu’on recommande chez nous le "bamlanivimab", un anticorps monoclonal produit par le labo Eli Lilly dont les pontes sont proches du gouvernement français. Une remède anti-covid aussi inefficace, aussi cher et aussi dangereux que le Remdevisir de triste mémoire. L’avantage de ces drogues, c’est qu’elles coûtent bien plus cher que les traitements connus. Un mécanisme juridique international nommé «patent waiver», permet de suspendre temporairement les brevets pharmaceutiques. Cette suspension temporaire des brevets sur les vaccins est possible, mais elle a été refusée par la France entre autres. Encore un indice s’il en est besoin que les labos n’ont pas assez cumulé de fric. N’en jetez plus, la cour est pleine ! Sur ce, portez vous bien et à bientôt.

On peut se poser des questions sur l’avenir. Pas la peine de se fatiguer, y’en a qui le font pour nous. Vous avez peut-être entendu parler du «Great Reset » ? On traduit ça par « Réinitialisation ». Le Times magazine nous expose la chose ainsi : « La pandémie COVID-19 a fourni une occasion unique de réfléchir au genre d'avenir que nous souhaitons. TIME s'est associé au Forum économique mondial (Davos) pour demander aux principaux penseurs de partager des idées sur la façon de transformer notre façon de vivre et de travailler. » Les grosses têtes (et gros portefeuilles) ont déjà tout pensé depuis longtemps. Le Fond Monétaire International est dans le coup, donc tout va très bien se passer, vous verrez, ça ne fait pas mal du tout.En vrac, il faut une gouvernance mondiale : les notions d’Etat et de démocratie sont dépassées, inutiles, voire nuisibles Idem pour la monnaie physique, le papier monnaie est également dépassé, inutile voire nuisible, passons vite au numérique généralisé. Les problèmes économiques et la consommation sont déjà en bonne voie avec les GAFAM. Le travail sera dépassé par la robotisation, distribuons un revenu minimal universel. La gestion sociale pourra utilement s’inspirer du modèle chinois. Surveillance universelle, caméras, smartphones obligatoires, drones, récompenses et punitions automatiques selon un barème d’évaluation des comportements. Entre parenthèses, parfois les choses s’imposent d’elles-mêmes : inutile de rendre la vaccination obligatoire, seuls les titulaires d’un carnet en règle pourront sortir de chez eux. Super, l’avenir s’annonce radieux ! Tout de même au hasard des lectures quotidiennes, on peut capter ‘autres infos. Selon l’étude de l’Université de Stanford parue le 5 janvier et dirigée par le prof John Ioannidis, le meilleur épidémiologiste mondial, aucune des politiques sociales mise en place (confinement, couvre-feu, obligation du masque etc…) n’ont eu le moindre effet significatif sur la pandémie. Plus surprenant : selon le collectif d’urgentistes InterUrgences, rien que pour le mois de janvier, : 2024 lits d’hôpitaux ont été supprimés en France. 350 à Tours, 200 à Caen, 174 à Nancy, 230 à Marseille, 100 à Nantes, etc. A ce propos, des nouvelles sur le Covid ? Allez voir :

L’histoire étant un éternel recommencement, voilà qu’on recommande chez nous le "bamlanivimab", un anticorps monoclonal produit par le labo Eli Lilly dont les pontes sont proches du gouvernement français. Une remède anti-covid aussi inefficace, aussi cher et aussi dangereux que le Remdevisir de triste mémoire. L’avantage de ces drogues, c’est qu’elles coûtent bien plus cher que les traitements connus. Un mécanisme juridique international nommé «patent waiver», permet de suspendre temporairement les brevets pharmaceutiques. Cette suspension temporaire des brevets sur les vaccins est possible, mais elle a été refusée par la France entre autres. Encore un indice s’il en est besoin que les labos n’ont pas assez cumulé de fric. N’en jetez plus, la cour est pleine ! Sur ce, portez vous bien et à bientôt.